Abdelhak Najib
Abdelhak Najib est philosophe, poète, romancier, essayiste, journaliste, critique d’art et de cinéma. Né à Casablanca, le 20 août 1969, il est aussi chroniqueur, conférencier et animateur-télé. Titulaire d’un doctorat en Littérature et en Histoire de l’Art, il a occupé plusieurs postes de reporter, de grand reporter, de secrétaire de rédaction et de rédacteur en chef dans plusieurs publications nationales (Télé Plus, Maroc Ouest, La Gazette du Maroc, La Vérité, Aujourd’hui le Maroc, Maroc Hebdo, Challenge Hebdo, Version Homme…) Il écrit aujourd’hui dans plusieurs publications telles que : Le Temps, la Vérité, Finances News Hebdo, Al Bayane, Bayane Al Youm, La Quotidienne, Le Reporter…
Il présente depuis mars 2014, l’émission culturelle «Sada Al Ibdae», diffusée sur la chaîne de télévision Al Oula.
Son premier roman, «Les territoires de Dieu», est paru en avril 2014. C’est un grand succès critique doublé d’un succès en librairie. Le roman en est aujourd’hui à sa cinquième édition. Son deuxième roman intitulé «Le printemps des feuilles qui tombent» est paru en 2016 et a obtenu le prix Rotary.
En 2017, il publie «Ce que m’ont dit les peintres», un essai critique sur plusieurs artistes peintres marocains. En 2018, il sort son premier recueil de poésie «Le pays ou les pierres parlent». Suivent «La Ilaha Fi Al Madar» et «Finis Gloriae Mundi», en septembre 2018.
En novembre 2018, il est honoré à l’Opéra de Berlin, en Allemagne, pour ce travail dont des poèmes ont été traduits en allemand.
Abdelhak Najib publie aussi en décembre 2018, «Le temps du rêve», un beau-livre sur plusieurs figures majeures des arts plastiques au Maroc.
Abdelhak Najib a été nommé Ambassadeur des Arts et des Lettres par Divine Académie Paris en octobre 2019.
En mars 2020, l’auteur publie un ouvrage collectif, intitulé «Maroc, de quoi avons-nous peur ?».
En Avril 2020, en plein confinement dû à la crise sanitaire du Covid-19, Abdelhak Najib cosigne avec la psychiatre et addictologue, Docteur Imane Kendili : «Coronavirus, la fin d’un monde», toujours aux Éditions Orion. Il publie en juillet 2020, un nouveau recueil de poésie, intitulé, «Vitriol» qui sort simultanément avec la deuxième édition du recueil : «Le pays où les pierres parlent». En août 2020, il publie la deuxième édition de son roman à succès : «Le printemps des feuilles qui tombent ». Son roman : «Le labyrinthe de l’Archange» sort en mars 2021. Un roman fleuve, écrit comme une saga de plus de 1800 pages, en trois tomes.
En janvier 2021, il publie «Schizophrénies marocaines», un livre de chroniques au vitriol sur les dérapages et les anachronismes de la société marocaine, perdue entre archaïsmes et vœu de modernité. Il publie aussi «La rédemption par le péché», un essai philosophique. En mars 2021, le poète publie un recueil de poésie en arabe, intitulé : «Ma9amates Ilahiya». Il prépare aussi deux romans : «La mort n’est pas un nouveau soleil» et «Ce que le temps doit à la distance», toujours aux Éditions Orion.
En août 2021, Abdelhak Najib publie : «Réduction des risques : Le Manifeste», co-dirigé avec Docteur Imane Kendili. Une réflexion de 28 auteurs, avec des sensibilités différentes, venues de plusieurs pays, sur la gestion des crises par temps de graves menaces sanitaires et humaines. Dans la foulée sort la traduction anglaise : «Harm Reduction : The Manifesto».
Abdelhak Najib a aussi réalisé plusieurs portraits au sein du couloir de la mort de la prison centrale de Kénitra. Un compte-rendu humain de toutes les rencontres que l’auteur a réalisées avec des Serial Killers et des figures de la criminalité au Maroc. Plus de 50 portraits font l’objet d’une publication sous le titre : «Vivre dans le couloir de la mort».
En 2021, après avoir échappé à la mort suite à une grave contamination par le coronavirus, et une hospitalisation de plus d’un mois, il publie, coup sur coup, plusieurs essais philosophiques «Et que crève le vieux monde», «La dignité du présent», «La voix de la Terre», suivis de deux recueils de poésie, «Memento Mori» et «Le soleil au cœur des hommes».
Abdelhak Najib publie en octobre 2021 un nouvel essai, intitulé «Chroniques d’un monde fou» et un recueil de poésie, intitulé : «Spiritus Mundi», toujours aux Éditions Orion.
En novembre 2021, il publie un essai de politologie, intitulé : «Maroc/Algérie : le dessous des cartes», suivi de «Maroc, ainsi soit-il».
Entre décembre 2021 et avril 2022, il publie «Inhumains» et «Le forgeron des eaux», suivis de «La vérité est une zone grise», du «Vol d’Icare», «Black-out», et «La quadrature du cercle».
En Mai 2022, il publie un essai critique sur la philosophie de Friedrich Nietzsche, intitulé : «Nietzsche, l’éternel retour », toujours aux éditions Orion. Il est suivi d’un autre essai, intitulé : «René Char, l’éclair qui dure», puis de «Psychanalyse de l’improbable», «Variations aléatoires», «Point de bascule» et «Jisro Al Malaïka».
En octobre 2022, il publie un nouveau roman, intitulé : «La dernière guerre du soldat inconnu», un réquisitoire caustique sur les dérives de certaines républiques bananières qui croupissent dans les archaïsmes et le déni de l’Histoire, à cause de la malédiction du pétrole et du gaz.
Toujours en octobre 2022, Abdelhak Najib publie un livre d’Art dédié à la politique humaniste du Monarque Mohammed VI en Afrique, intitulé : «Santé en Afrique : La politique humaniste de Mohammed VI» et signé par Abdelhak Najib.
En janvier 2023, Abdelhak Najib publie «Le point de bascule» qui est suivi de «Derrière un écran de fumée», «La structure du vide» et «Fractales».
En avril 2023, l’écrivain publie un essai politique très actuel sur la crise entre le Maroc et la France, intitulé : «France, la fin des illusions».
En mai 2023, Abdelhak Najib publie un nouveau roman, intitulé «La morte n’est pas un nouveau soleil», un travail qui a pris plus de vingt ans à l’auteur. Un roman qui raconte l’histoire ramifiée de l’internationale du terrorisme, dans un récit très actuel et très puissant.
Entre juin 2023 et juin 2024, Abdelhak Najib a publié plusieurs titres dont «Beaucoup sont appelés, peu sont élus », «Le baiser de Judas », «Le testament de Dionysos », « Confessions au fil du temps », « Apocalypse », « Fi Mi7rabi Al Maraa Al 9adima »…
En mars 2024, l’auteur publie un essai très actuel sur la Palestine, intitulé : « Palestine, l’impossible État ».
L’auteur continue aussi son voyage dans la peinture marocaine en publiant deux nouveaux essais : « Couleurs en archipel » et « Les grandes figures de la peinture marocaine ».
En juin 2024, Abdelhak Najib publie son premier livre en Anglais sous le titre de « Tales from the ancient age ». Il prépare la parution de « Les printemps des feuilles qui tombent » en langue allemande ainsi que «Les Territoires de Dieu » en Espagnol.
Abdelhak Najib a obtenu plusieurs prix dont le prix Rotary en 2016. Il a été décoré des Hautes Insignes de Divine Académie Paris en 2017. En 2019, il a été élevé au rang de Grand ambassadeur de Divine Académie Paris pour les Arts et la Culture. En 2020, il a été distingué Homme de culture de l’année par l’Union de la Culture Arabe, au Caire.
En juillet 2021, Abdelhak Najib est nommé Ambassadeur des Arts et des Lettres pour l’Organisation mondiale de la Gastronomie (OMG), pour promouvoir la Culture et les arts dans le monde, dans une démarche de diplomatie parallèle. Il est également nommé en août 2021, Secrétaire Général de l’Union Arabe de la Culture.
En décembre 2022, Abdelhak Najib est sacré Homme de la Culture 2022-2023 par l’Union de la Culture Arabe.
Biographie officielle signée par l’auteure et psychiatre Docteur Imane Kendili