L’opinion

L'Équipe nationale de basketball est en phase de préparation pour la première manche des qualifications pour l’Afro Basket Fiba 25 prévue à Dakar vendredi, samedi et dimanche prochains Elle avait pour sparring-partner, ce mercredi, l’équipe nationale rwandaise qu’elle a battue 54-52.  

Le derby se jouera à huis clos vendredi prochain. Programmé initialement à 16h00, il est repoussé à 18h00. L’horaire de 16h00 était choisi pour des raisons sécuritaires.  Or, puisque le huis clos est décrété et que les difficultés sécuritaires ne se posent plus, la décision d'adopter 18h00 pour lancer le derby est prise par les organisateurs en commun accord.  

La CAF a dévoilé les listes des différentes  catégories des nominées pour les Awards féminins .

Les Lionceaux U17 se reprennent après le faux pas face aux Tunisiens (2-2). Ils viennent à bout des Libyens 0-2 ce mercredi soir. Un but par mi-temps et tous les deux sur des balles arrêtées: Un coup franc converti par Ismail El Aoud en première période. Un penalty transformé par Ziyad Baha en deuxième mi-temps.   Ils totalisent 7 points en 3 matchs joués. Ils en ont encore un face aux Algériens samedi prochain. Comme les U20, ils sont proches de l’objectif: la qualification. Ils ont l’opportunité de la confirmer samedi prochain au stade Père Jégo. 🚀 QUE GOLAZO DE ISMAEL EL AOUD 🇲🇦🇲🇦🇲🇦MARRUECOS 1-0 LIBIA pic.twitter.com/69JxRKwdDC— Futbol Marroqui 212 (@FutbolMarroqui) November 20, 2024 BUT ! Maroc 🇲🇦 2 - 0 Libye 🇱🇾 ! (U-17)Le Buteur Ziyad Baha ⚽️🦁🇲🇦pic.twitter.com/91skZINcm2— Mountakhab.net (@Mountakhabma) November 20, 2024

Le duel des U20 Marocains et leurs homologues algériens s'achève sur un nul (1-1). 15’. Les Lionceaux sont surpris sur un contre adverse. Contre le cours du jeu, ils encaissent un but sur le premier mouvement offensif des Algériens.   Ils réagissent bien sans parvenir à concrétiser leurs assauts. Ils butent souvent sur le gardien qui multiplie les interventions, n'hésitant pas à faire du cinéma pour gagner du temps et briser le rythme des Lionceaux.   65’. Un penalty est accordé aux Algériens. Le ballon se fracasse sur la transversale.  Le penalty manqué permet aux Marocains de rester dans le match à la recherche de l'égalisation.   85’ .ils vont y parvenir par Mohamed Yasser Zabiri qui profite d’une remise latérale du côté droit vers le petit rectangle. Zabiri, seul sans contrôle, dévie le centre court vers la cage égalisant pour l'Équipe nationale; une égalisation méritée sur l'ensemble de la prestation des Lionceaux  souvent à l'initiative face à un adversaire regroupé en défense et privilégiant les contres.   Les Lionceaux totalisent 7 points. Ils ont encore un match à jouer face aux Libyens. Ils ont fait le plus dur. Ils sont très proches de l’objectif.  On peut même les considérés qualifiés si on prend en considération que deux sélections seront qualifiées. Ils sont assurés de finir dans le classement des deux premiers de l'UNAF U20.   GOAAALL | 1-1Zabiri scores the equalizer for Morocco U20 💥 pic.twitter.com/mqTUe6oFWs— 𝗠𝗩𝗡_𝗘𝗡 | 🇲🇦 𝗙𝗼𝗼𝘁𝗯𝗮𝗹𝗹 𝗡𝗲𝘄𝘀 (@MVN_EN) November 20, 2024

Le gouvernement de gauche espagnol a annoncé mardi l'adoption d'une réforme réglementaire qui va faciliter selon lui la régularisation de dizaines de milliers d'immigrés illégaux supplémentaires par an au cours des trois prochaines années. "L'objectif est de renforcer et d'élargir les voies d'accès à la régularisation pour les migrants qui se trouvent en Espagne, afin qu'ils puissent mener une vie pleine en tant que citoyens: avoir des droits et des devoirs", a expliqué la ministre de l'Inclusion et des Migrations Elma Saiz. Selon des chiffres cités par la ministre, quelque 210.000 migrants étaient enregistrés fin 2023 dans les différentes démarches menant à la naturalisation aujourd'hui en Espagne, soit 85.000 personnes de plus qu'en 2022. Grâce à la réforme adoptée mardi, le gouvernement estime que jusqu'à 300.000 immigrés pourraient être régularisés chaque année au cours des trois prochaines années. "Comme nous l'avons répété à plusieurs reprises, divers organismes nationaux et internationaux (...) estiment que l'Espagne a besoin d'environ 250.000 à 300.000 travailleurs étrangers par an pour maintenir son niveau de vie", a insisté la ministre en conférence de presse. "Comme l'a dit le (Premier ministre Pedro) Sánchez il y a quelques semaines, l'Espagne doit choisir entre être un pays ouvert et prospère ou être un pays fermé et pauvre. Et nous avons choisi la première option", a-t-elle poursuivi. Cette réforme réglementaire prévoit notamment une réduction des délais et des formalités pour l'obtention des titres de séjour, le "renforcement" des droits des travailleurs migrants, l'extension de trois mois à un an de la durée du visa de recherche d'emploi et la création de nouveaux statuts ouvrant la voie à une régularisation.

Les ambassades des États-Unis et d'autres ambassades occidentales à Kiev ont déclaré qu'elles restaient fermées, mercredi, pour des raisons de sécurité, la délégation américaine affirmant avoir reçu un avertissement concernant une attaque aérienne russe potentiellement importante sur la capitale ukrainienne. Cette mesure de précaution est intervenue après que des responsables russes ont promis une réponse à la décision du président Joe Biden de laisser l'Ukraine frapper des cibles sur le sol russe avec des missiles de fabrication américaine - une décision qui a provoqué la colère du Kremlin.  L'ambassade des États-Unis a déclaré que sa fermeture et son avertissement d'attaque ont été émis dans le contexte des attaques de missiles et de drones russes en cours sur Kiev et anticipaient un retour rapide aux opérations régulières.  Les ambassades d'Italie et de Grèce ont également fermé au public pour la journée, mais le gouvernement britannique a déclaré que son ambassade restait ouverte.  La guerre, qui a atteint mardi son cap des 1000 jours, a pris une dimension internationale croissante avec l'arrivée de troupes nord-coréennes pour aider la Russie sur le champ de bataille - un développement qui, selon les responsables américains, a incité Biden à changer de politique.  Le président russe Vladimir Poutine a ensuite abaissé le seuil d'utilisation de son arsenal nucléaire, la nouvelle doctrine annoncée mardi permettant une réponse nucléaire potentielle de Moscou même à une attaque conventionnelle contre la Russie par n'importe quelle nation soutenue par une puissance nucléaire. Cela pourrait potentiellement inclure des attaques ukrainiennes soutenues par les États-Unis.    Les missiles ATACMS américains utilisés contre la Russie Les dirigeants occidentaux ont rejeté la décision russe comme une tentative de dissuader les alliés de l'Ukraine de fournir un soutien supplémentaire à Kiev, mais l'escalade des tensions a pesé sur les marchés boursiers après que l'Ukraine a utilisé pour la première fois des missiles à longue portée ATACMS de fabrication américaine pour frapper une cible en Russie.  Les responsables occidentaux et ukrainiens affirment que la Russie a stocké de puissants missiles à longue portée, peut-être dans le cadre d'un effort futur visant à écraser le réseau électrique ukrainien alors que l'hiver s'installe.  Les analystes militaires estiment que la décision américaine sur la portée à laquelle les missiles de fabrication américaine peuvent être utilisés ne devrait pas changer la donne dans la guerre, mais elle pourrait aider à affaiblir l'effort de guerre russe, selon l'Institute for the Study of War, un groupe de réflexion de Washington.  «Les frappes ukrainiennes à longue portée contre des objets militaires à l'arrière de la Russie sont cruciales pour dégrader les capacités militaires russes sur tout le théâtre», a-t-il déclaré.  Pendant ce temps, la Corée du Nord a récemment fourni des systèmes d'artillerie supplémentaires à la Russie, selon la Corée du Sud.  Elle a déclaré que des soldats nord-coréens étaient affectés aux unités des forces marines et aéroportées russes et que certains d'entre eux avaient déjà commencé à se battre aux côtés des Russes sur les lignes de front. 

L’armée d'occupation israélienne a ciblé une maison dans la région d'Al-Sabra, entraînant le martyre de deux Palestiniens et des blessés. Elle a également ciblé les équipes d'ambulances qui se sont précipitées pour secourir les blessés et récupérer les morts, provoquant la mort d’un secouriste. Douze Palestiniens ont été tués et plus de 10 autres ont été portés disparus suite aux attaques de l'armée d'occupation contre une maison à Jabalia al-Balad, au nord de la bande de Gaza. Selon Al mayadeen, "l'armée" d'occupation a fait sauter des immeubles résidentiels à proximité du camp de Jabalia. En outre, l'aviation d'occupation a lancé une série de raids violents sur la ville de Beit Lahia, au nord de la bande de Gaza. Dans le sud-ouest de la ville de Gaza, l'occupation israélienne a pris pour cible une maison en face de la boulangerie Al-Sultan dans le quartier d'Al-Sabra, entraînant la mort de deux Palestiniens et des blessés. Plus de 15 enfants ont été blessés suite aux bombardements israéliens sur le quartier d'Al-Sabra et Jabalia Al-Balad, dont des blessés graves, selon la télévision palestinienne. Par ailleurs, l’armée israélienne a attaqué les équipes de secours et les ambulanciers qui cherchaient à secourir les blessés et à récupérer les morts, tuant un secouriste et en blessant plusieurs autres.   Un bilan de près de 44.000 morts La Défense Civile a affirmé que ses équipes ont été directement visées aux premières heures de l'aube par les avions de l'occupation, indiquant que l'occupation cherche à empêcher l'accès aux victimes sous les décombres et à les secourir. Le porte-parole de la Défense civile de Gaza a annoncé que le nombre de morts tués à Gaza s'élevait à 87. Dans le centre de la bande de Gaza, l'armée d’occupation a ciblé le nord du camp de Nuseirat. Les forces d'occupation ont poursuivi leur agression contre la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023, entraînant la mort de 43.972 Palestiniens, dont une majorité de femmes et d'enfants, et la blessure de 104.008 autres, un bilan infini, alors que des milliers de victimes sont à déplorer. toujours sous les décombres et sur les routes, et les équipes ne peuvent pas atteindre les ambulances et les secours.

Une solution pour mettre fin à la guerre entre Israël et le Hezbollah au Liban est "à portée de main", a déclaré, mardi, l'émissaire spécial du président américain, Amos Hochstein. Mais avec l’attachement des Libanais à leur souveraineté et l’entêtement israélien à ne pas consentir la moindre concession, la trêve continue à paraître lointaine. L'envoyé américain Amos a conclu, mardi, ses discussions intensives à Beyrouth, où il a tenu des réunions avec le président du Parlement Nabih Berri, son conseiller en matière de médias Ali Hamdan et le commandant de l'armée libanaise. Les réunions ont porté sur la révision du projet d'accord de cessez-le-feu, avec des amendements visant à éviter les conditions qui pourraient entraver l'acceptation par les différentes parties. Hochstein devait se rendre à Tel Aviv ce soir pour discuter de la position israélienne sur la proposition américaine. Cette visite est considérée comme décisive, car elle déterminera le sort de l’accord, sur fond d’indications mitigées quant à la possibilité de parvenir à une percée diplomatique. Le président du Parlement libanais, Nabih Berri, a exprimé sa satisfaction quant aux progrès réalisés, notant dans des déclarations au journal An-Nahar que les négociations en cours constituent une «dernière tentative» avant l'entrée en fonction de la nouvelle administration américaine. Il a souligné que l'approbation du projet constituerait une étape majeure vers une solution, mais a souligné que la mise en œuvre constitue le véritable test.   Quelques points de convergence Alors que le Liban a fait preuve de flexibilité dans le traitement de la proposition américaine en 13 points, notamment en élargissant le comité de surveillance de la mise en œuvre de la Résolution 1701 aux États-Unis et en France, aux Nations Unies et à un pays arabe, en écartant la participation de la Grande-Bretagne et de l'Allemagne. Parmi les propositions inclues à l’accord, il y a lieu de citer  l'augmentation du nombre de forces de l'armée libanaise dans le sud et le renforcement du rôle des forces de la FINUL dans la surveillance des frontières. Cependant, la question de la démarcation des frontières terrestres reste controversée, le président du Parlement Nabih Berri rejetant toute modification des frontières existantes. L'information indique également qu'il existe des engagements concernant la région méridionale du Litani qui ne seront pas inclus dans le texte de l'accord écrit, ce qui reflète la sensibilité du dossier sécuritaire dans le sud. De son côté, le Premier ministre sortant Najib Mikati a souligné, lors de sa rencontre avec Hochstein, la nécessité d’un cessez-le-feu comme une priorité absolue, exigeant la préservation de la souveraineté du Liban et la fin de ce qu’il a qualifié de «génocide israélien». Il a également appelé au renforcement de l'autorité de l'armée libanaise et à la pleine mise en œuvre des résolutions internationales.   On ne touche pas à la souveraineté du Liban Quant à la position du Hezbollah, il a affirmé être prêt à respecter tout accord conclu, à condition qu'il ne porte pas atteinte à la souveraineté du Liban et qu'il ne fournisse pas de couverture juridique à "l'agression israélienne", alors que Tel-Aviv s’accroche à sa position de refus de faire des concessions susceptibles d'entraver ses opérations militaires au sud du Liban. Les efforts internationaux se poursuivent pour contenir l'escalade entre Israël et le Hezbollah, avec l'assurance qu'une solution est "à portée de main", selon ce qui a été annoncé par l'envoyé spécial américain, Amos Hochstein, arrivé mardi à Beyrouth pour discuter de la proposition de trêve. Hochstein a qualifié, pour sa part, les discussions avec des responsables libanais, dont le président Nabih Berri, de «très constructives», soulignant qu’il existe une réelle opportunité de mettre fin à la guerre. Hochstein a également rencontré le commandant de l'armée libanaise, le général Joseph Aoun, et l'ambassadeur de France à Beyrouth, avec lequel il a discuté de la préparation de l'armée à se déployer dans les régions du sud et à établir la sécurité. Le rôle pivot de Berri et celui controversé d’Hochstein Les négociations en cours entre  le Liban et Israël, sous l’égide de l’émissaire américain Amos Hochstein, sont décrites par différentes sources comme un moment décisif pour la stabilité régionale, mais restent entravées par des obstacles majeurs et des attentes contradictoires.  Tandis que les autorités libanaises insistent sur le respect strict de la Résolution 1701, Tel Aviv semble pousser pour des concessions à même d’écorner la souveraineté libanaise.  L’un des éléments centraux de ces négociations est le rôle crucial joué par Nabih Berri, président du Parlement libanais.  Selon Nahar International, Berri a exprimé sa satisfaction quant aux discussions en cours, tout en précisant que leur succès dépend entièrement de la réponse israélienne aux propositions libanaises.  Il a réitéré que le Liban ne fera aucune concession touchant à sa souveraineté, une position largement appuyée par le Hezbollah. Ce dernier, tout en participant discrètement aux discussions, maintient une posture inflexible sur des garanties de sécurité.  Les journaux comme Nida’ Al Watan et Annahar soulignent que Berri est devenu le principal interlocuteur du Liban dans ces pourparlers, en l’absence d’un président de la République. Cette situation, bien qu’efficace à court terme, soulève des interrogations sur la légitimité constitutionnelle de cette centralisation des décisions, un point vivement débattu dans la sphère politique libanaise.  Les exigences israéliennes constituent un point de blocage. Un obstacle majeur évoqué par Al-Akhbar et Al-Sharq Al-Awsat concerne les exigences israéliennes, notamment la revendication de la liberté d’intervention militaire au Sud-Liban.  Cette demande, jugée «irréaliste» par les responsables libanais, est perçue comme une tentative de légitimer des violations de la souveraineté libanaise sous couvert de sécurité.  En parallèle, Israël insiste sur des ajustements dans la mise en œuvre de la Résolution 1701, notamment concernant la démilitarisation de certaines zones frontalières. 

La promotion des loisirs et des projets mixtes dans le secteur du tourisme et de l'hôtellerie doit s’appuyer sur des concepts innovants et intégrés dans les domaines de la restauration et du gaming, ont affirmé, mercredi à Casablanca, les participants à un panel organisé dans le cadre du Morocco Showcase Summit.   Lors de cette rencontre, placée sous le thème "Comment valoriser les aménagements de loisirs et à usage mixte : un regard sur la restauration et les jeux ?", les experts ont souligné l'importance d'intégrer des expériences gastronomiques et des activités ludiques pour renforcer l'attractivité des projets touristiques et mixtes.   Ils ont ainsi mis en exergue la nécessité de répondre aux nouvelles attentes des consommateurs en matière de loisirs, tout en proposant des offres personnalisées, innovantes et durables, capables d’attirer aussi bien les visiteurs locaux qu’internationaux.   A cet égard, Ninon Lamothe, directrice Afrique chez Voltère, a indiqué que le développement de projets mixtes pose des défis majeurs, notamment la nécessité d'assurer une cohérence entre les différentes composantes du projet, précisant que cela requiert des études de marché approfondies pour analyser la demande, évaluer le positionnement tarifaire et dimensionner les espaces, qu’il s’agisse de bureaux, de commerces, de loisirs ou autres.   Et d'ajouter qu'il est essentiel d’assurer une coordination méticuleuse, de la phase de planification à l'exploitation, afin de garantir la rentabilité et la durabilité du projet. Les loisirs occupent une place centrale dans le succès des projets mixtes, en contribuant à créer des espaces de vie dynamiques et attractifs, a-t-elle dit, notant que, bien qu’ils ne soient pas toujours la fonction la plus rentable, ils agissent souvent comme des catalyseurs, attirant visiteurs, investisseurs et usagers. De son côté, Othmane Akherraz, co-fondateur de The Game Changer, a souligné que, contrairement au tourisme traditionnel axé sur la visite de monuments, la nouvelle génération de touristes, notamment la Gen Z, privilégie les activités immersives et interactives, telles que "les escape games".   Ces expériences, qui combinent plaisir et apprentissage, peuvent transformer des lieux peu attractifs en destinations incontournables, a-t-il expliqué, citant l’exemple de Budapest, où "les escape games sont devenus l’attraction touristique numéro un, dépassant même les visites de monuments".   Et de poursuivre que le développement des activités de gamification ne se limite pas au divertissement, mais contribue également à l’émergence de nouveaux écosystèmes économiques, notamment en intégrant ces concepts dans le tourisme marocain, à travers des subventions importantes et des initiatives.   Pour sa part, Carlos Ortega Mirand, responsable du développement global de l’entreprise (Head of Corporate Global Development) chez Palladium Hotel Group, a mis l'accent sur la pertinence de diversifier l'offre dans les projets touristiques et d'intégrer des éléments combinant restauration, loisirs et jeux pour maximiser leur impact économique et social.   Citant comme exemple Palladium Hotel Group, M. Mirand a fait savoir que cette entreprise, née à Ibiza, s'inspire de l'identité de cette destination mondialement reconnue pour le plaisir et le divertissement, notant que cet héritage se reflète dans une approche axée sur l'entretien et la création d'expériences multisensorielles à travers des éléments tels que la musique, la gastronomie ou d'autres aspects immersifs afin de mettre l’accent sur l'offre d'une expérience bien plus riche qu'un simple séjour.   "Nous souhaitons apporter ces concepts novateurs au Maroc, notamment à Marrakech, une destination à la fois performante et riche en opportunités. La ville offre un potentiel exceptionnel, comparable aux grandes capitales européennes comme Paris ou Londres, tout en conservant une identité unique orientée sur le plaisir", a-t-il dit.   Et de soutenir: "Nous aspirons à nous y intégrer en apportant une touche distinctive et en contribuant à renforcer sa position en tant que référence mondiale du divertissement et de l'hôtellerie haut de gamme".   Ce panel a permis d'échanger des idées novatrices et d'identifier les défis et opportunités spécifiques au marché marocain, tout en renforçant les partenariats stratégiques pour le développement des secteurs du tourisme et de l'hôtellerie.   Cette initiative s'inscrit dans la dynamique nationale visant à positionner le Maroc comme une destination de choix pour les investissements dans le tourisme et les loisirs, en capitalisant sur son attractivité culturelle et géographique.   Co-organisé par la Société Marocaine d'Ingénierie Touristique (SMIT) et API Events les 19 et 20 novembre 2024 à Casablanca, ce sommet réunit plus de 300 investisseurs, hôteliers et leaders du tourisme en provenance de 15 pays, et offre aux participants l’opportunité de découvrir les potentialités d’un des marchés touristiques les plus attractifs au monde.   En plus des conférences et des panels, cet événement a facilité des rencontres d’affaires visant à renforcer les liens entre les acteurs clés de l’industrie hôtelière et touristique et à promouvoir l’investissement dans le secteur au Maroc.